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 LYONNEL VANCAMP PAUL - BROKEN (AS FUCK) - 40

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Lyon Paul
Admin
Lyon Paul
PSEUDO/PRÉNOM : Imaginarium / Andie MESSAGES : 35 CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Zachary Levi MULTINICK : Milhan, Saul
INSCRIT LE : 20/10/2014


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MessageSujet: LYONNEL VANCAMP PAUL - BROKEN (AS FUCK) - 40   LYONNEL VANCAMP PAUL - BROKEN (AS FUCK) - 40 EmptyMer 22 Juin - 15:59

the truth is, i am him/her
« Nom + Paul, simple oui, Je ne porte plus le nom de mon père depuis de nombreuses années, je porte celui de ma mère. Pourquoi? Simplement parce que mon paternel ne représente rien de plus que le géniteur qui m'a mit au monde. Prénom(s) + Je suis né sous le nom de Lyonnel Treyan, mais je n'utilise que Lyonnel et déjà là je le tiens au plus court. Surnom(s) + Il y a quelques noms qui m'ont été donnés dans l'armée, mais celui donné par ma famille et mes amis se résume à Lyon. Pour ce qui est du boulot, on me surnommait Paul, zombie, Badluck, Death, Bane le plus souvent utilisé. Date et lieu de naissance + 1er juin, Seattle. Âge + Je suis âgé de quarante ans. Nationalité + américaine. Activité + ancien militaire, détective privé. Classe sociale + moyenne. Orientation sexuelle + hétérosexuel. Statut civil + Ne soyez pas surpris, mais je suis marié. Où se trouve ma femme ? Aucune idée, honnêtement, je n'ai pas chercher à savoir, elle se tient loin de moi et je crois bien que c'est qu'il y a de mieux pour elle et pour moi. Elle n'a sûrement pas été capable de me demander le divorce, puisque du jour au lendemain, elle a plié bagage et à quitté la ville sans laissé de note ou rien.. Ville actuelle & Date d'arrivée + Actuellement à Seattle, arrivé autour de décembre 2014. Quartier d'habitation + Vit dans un môtel à l'écart de la ville de Seattle, très tranquille, sans vraiment beaucoup de passant. »
tell me what you see in this mirror

«. Lyonnel "Vancamp" Paul .»
citation citation citation

tell me the true about who you are, who you should be
Né à Seattle de son père William VanCamp et de sa mère Elizabeth Paul. Il n'a jamais vraiment connu son père au début. Il était père d'un garçon qui aurait vingt ans cet année, mais décédé il y a cinq ans d'une balle perdue. Son nom était Elias. Il est marié depuis quinze ans, mais sa femme a disparue il y a cinq ans quelques jours après la mort de leur fils. Lyon n'est pas un mec facile à cerner. Il est bien agressif, vil, violent et surtout méchant tantôt, doux comme un agneau, un ange, l'homme le plus romantique, le gamin joueur. On pourrait même dire de lui qu'il est bipolaire. Il a accumulé pratiquement vingt ans d'année militaire et cinq ans presque de détective privé, faisant même les deux à la fois par moment. Pour lui, il représente la mort, la peste. Il est porteur de malchance. C'est comme ça qu'il se voit et qu'il s'est toujours vu dès l'âge de quatre ans. Il sait qu'il n'est pas le seul enfant de son enfoiré de père et il sait qui ils sont. Il fait l'ange gardien, de loin, parfois même de près. Il a beau se dire l'inverse, il reste que ces trois personnes sont de son sang et n'ayant plus personne, il n'a qu'eux sur qui veiller. Malgré ces expériences ratés, c'est un preux chevalier, pas tout le temps prince charmant, mais toujours présent pour aider tout ceux qui en on besoin. C'est un tireur d'élite, les armes, il les connait comme sa poche, mais il n'en possède qu'une à la fois. Suite à cette balle qui lui a traversé la tête, quelque chose à changé chez lui, pourtant les médecins disent que la balle n'a rien toucher, mais Lyon donne l'impression que c'est faux. Il n'exprime plus ses émotions. Il en a oui, mais rare qu'elle sont visible.
«. © crédits .»


Dernière édition par Lyon Paul le Mer 22 Juin - 16:23, édité 2 fois
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Lyon Paul
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PSEUDO/PRÉNOM : Imaginarium / Andie MESSAGES : 35 CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Zachary Levi MULTINICK : Milhan, Saul
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MessageSujet: Re: LYONNEL VANCAMP PAUL - BROKEN (AS FUCK) - 40   LYONNEL VANCAMP PAUL - BROKEN (AS FUCK) - 40 EmptyMer 22 Juin - 16:00

«. the big tittle .»
citation citation citation

tell me the true about who you are, who you should be
1979, SEATLE, QUATRE ANS / STILL CHILDISH
Ma vie commence et terminé dans une chambre d'hôtel. Ma mère est là sur le lit assise, sur la pointe les bras pliés contre son ventre. Ses larmes ne m'arlete même pas. Il faut tout de même avouer que je n'ai que quatre ans à cet époque. Je n'ai aucune idée où nous sommes, ni même où elle m'amène, tout ce que je sais c'est que je suis avec elle et qu'elle n'est plus la même depuis longtemps. Depuis bien trop longtemps pour un enfant de cet âge. Je ne sais pas pourquoi, mais depuis la visite de cet homme la semaine dernière, elle n'est plus la même, elle pleure sans arrêt, elle pleure tellement souvent que je ne m'en rend même plus compte. Je lève enfin la tête vers elle et suit cette larme planer jusqu'au sol. Je me lève d'un bon et cours vers elle, dans ces bras. Elle fond et je dois avoué que dès l'âge de quatre ans, j'ai vieillis trop rapidement. Pour elle, pour qu'elle se sente bien, pour qu'elle soit heureuse. Je suis devenu un homme, trop top. J'ai levé la tête vers elle, j'ai souris de façon assez stupide et j'ai prit son visage entre mes mains.  « Efface ce mauvais sourire maman, regarde je suis là. Je suis ton homme maintenant. » Je me suis reculé et j'ai fait comme dans les dessins animés avec musclor. J'ai montré mes muscles en poussant des cris de force. Bon du haut de mes trois pommes, ce devait être drôle à voir, mais depuis un mois, j'ai enfin réussi à la faire rire!

1989, LOS ANGELES, QUINZE ANS / WORST VIOLENCE
j'entend sa voix, j'entend celle de ma mère. Je n'aime pas ce qu'il dit. Je suis dans la pièce juste à côté, j'ai les dents serré, j'ai envie de fuir. Depuis des mois je vis la présence de cet homme dans ma maison, j'ai envie de le faire taire, une bonne fois pour toute. J'ai grandis, je ne suis plus le petit gamin joyeux qu'elle connaissait de moi. Depuis qu'elle faisait rentré ce genre d'hommes à la maison, je devenais de plus en plus fou. Je serrais les dents, cette fois, c'était moi assis sur la pointe du lit. J'avais les poings serrés contre mes genoux jusqu'à ce que je l'entende à nouveau. « Victor arrête. Non mais arrête! Tu me fais mal! » Et puis le hurlement ayant suivit me fit lever d'un bon. Je travers ma chambre, attrape ma batte de base-ball. Petite parenthèse, j'ai toujours adoré le sport, si je n'avais pas eut cet enfance de merde je serais sûrement devenu un excellent sportif. Fin de la parenthèse. Le regard noir, je sors de ma chambre et m'enligne vers la porte suivante. Une main bien serré suffira à lui arracher quelques dents. Je pousse la porte avec fureur et lui pointe la batte dans sa direction. Je vois ma mère au sol, la lèvre en sang. « Fumier! Dégage! laisse ma mère tranquille! » Je vois la peur dans le regard de ma mère, non pas de cet homme, mais... Mais... Elle avait peur de... Moi. Elle ne m'avait jamais vu aussi furieux en dix ans depuis mon dernier véritable rire. L'autre se met à rire en me regardant. J'étais bien trop sérieux pour m'attardé à ses mots stupides. Je ramenai mon bras vers l'arrière, je prenais mon élan.  « Lyonnel VanCamp! ARRÊTE!! » Elle se rue vers moi, et tente de m'arrêter, mais trop tard, le coup est déjà partit. Je l'ai frappai une fois, puis deux et encore trois fois supplémentaire. Je me suis reculé une fois qu'il était immobile au sol. J'avais les dents serrées. Personne n'avait le droit de toucher à ma mère, pas de cette façon. Depuis ce jour, je suis devenu agressif, violent même, mais seulement envers les hommes, jamais je n'ai touché une femme. Chaque homme trop près de ma mère me rendait fou, je finissais toujours par perdre la boule.

JUIN 1993, LOS ANGELES, 18 ANS / MILLITARY
J'avais encore fait un troue dans un mur après une énième engueulade avec ma mère. J'avais beau l'aimé comme un fou, mais la peur qu'elle avait dans les yeux à chaque fois qu'elle me regardait me brisait le coeur. Je lui avais dit que je la protégerais, peu importe le prit, mais elle ne supporte pas ce que je fais pour elle. Pour une énième fois, j'ai finis dans ma chambre. Le jour de mes dix-huit ans, me voila enfermé dans ma chambre. Quel joie... Puis une voix passe à travers les murs de cartons, une voix masculine qui me dit quelque chose, puis celle de ma mère retentit, en larme, comme si l'homme qui venait d'arriver allait régler tous ces problèmes. Je reste fixe derrière la porte à écouter. « Oh William... Je t'en pris fait quelque chose. C'est ton fils et tu le sais. Je ne peux plus vivre comme ça. Cette violence. » Je serre les dents. Est-ce qu'elle venait de dire que... C'est qui ce William. William, pourquoi ce nom me dit quelque chose. Je l'ai vu quelque part, mais où. Des pas s'enligne vers ma chambre, je me recule à l’opposé de cette dernière et garde la tête haute, le dos droit, les bras souples, prêt à me défendre. Il entre sans prévenir et me fixe de haut en bas. Je croise son regard une fois son examen terminé. Ce regard, c'est le même que cet homme. Celui à Seattle... Celui qui a brisé le coeur de ma mère. Je fais un pas vers l'arrière, sur la défensive. Il resta à distance un moment et s'avança vers moi. « Mon fils, ton attitude est impardonnable. » Je pousse un rire noir et reste à l'écart. Il me dit son fils? « Non mais t'es qui toi! T'es pas mon père, j'ai jamais eut de père. Si tu l'étais tu m'aurais élevé. » Il reste fixe comme une barre, rien ne pouvait l'ébranlé. « Je suis William VanCamp et je vais te montrer les bonne manière, fait tes bagages, tu pars avec moi. » VanCamp... Il était vraiment mon père. J'eus ce moment de perturbation et je n'ai aucune idées comment, je l'ai suivit.

SEPTEMBRE 2007, IRAK, 32 ANS / BIG DEFENDER
Depuis quatorze ans je suis dans l'armé. William VanCamp, mon géniteur m'y a forcé. Depuis pratiquement cinq ans j'ai changé mon nom pour celui de ma mère. Paul. Depuis longtemps je ne considérais plus ce William comme mon père. Il m'a brisé sous toutes les coutures, il a tout fait pour me mettre à son image. Un fidèle soldat qui agit sous ses ordres, qui ne discute pas, qui ne bronche pas. Mais ce n'était pas moi, je n'étais pas comme ça, je ne l'ai jamais été. Après six ans sous son commandement, je n'en pouvais plus et je me suis retourné contre lui, je me suis battu avec lui, ce qui m'a valu d'être exclue de son équipe. Quel joie est-ce que c'était de ne plus l'avoir sur mon dos. Puis, quelques mois plus tard, j'avais ma propre unité. Beaucoup me prenait pour le fils de monsieur VanCamp, mais rapidement, ils oubliaient mon nom et je devenais Bane. La peste, le fléau, c'est ce que vous voulez. J’entraînais la mort peu importe où j'allais. Je revenais régulièrement avec au moins un membre de mon équipe, mort ou gravement blessé et à chaque fois, c'était la même rengaine de la part de William. À travers les années, je m'y suis habitué, c'est devenu une guerre entre nous. Il avait tenu l'animal en cage pendant trop longtemps. Le jour où j'ai changé mon nom pour celui de Paul, à l'âge de vingt-sept ans, il a comprit qu'il n'avait plus d'emprise sur moi et je crois bien que ça l'a rendu fou, tout comme il me rendait fou. Je suis cette maladie qu'il n'arrivera jamais à ce débarrasser. À trente-deux ans, ce fut le dernier affront. Il a dépassé les bornes. J'avais un petit nouveau dans mon unité, à peine vingt ans. Je faisais tout pour l'épargné, pour qu'il est a faire les missions suicides qui nous était attribué. Mais William faisait tout pour s'en prendre à lui. Je me suis retrouvé nez à nez avec mon géniteur et l'ait repoussé loin de Teacup. « Je t'avertis une dernière fois, laisse mon unité tranquille. T'en as pas eut assez de ruiner ma vie en me traînant ici? Je n'ai même pas envie de voir ce que tu fais subir à tes enfants! Puis en plus tu ose retourner vers ma mère et lui faire les yeux doux! Ne t'approche plus de ma mère, de mon unité ou même de moi. Ne leur touche même pas, sinon tu ne toucheras plus jamais personne William VanCamp. » À peine quelques semaines plus tard, j'ai été renvoyé au pays.

JUIN 2010, LOS ANGELES, 35 ANS / LOST ALL
Je suis de retour à Los Angeles depuis trois ans et sans vraiment savoir comment, j'ai ouvert mon bureau de détective. Je gardais ma violence hors de la maison, j'épargnais à mon fils toute mes pensés noires. Il avait quinze ans aujourd'hui, l'âge à laquelle j'ai mal tourné, je me devais d'être présent, pour que ce soit différent. Je n'ai jamais vraiment été présent par le passé avec l'armée et je dois dire que je m'en suis voulu longtemps et encore aujourd'hui je m'en veux. J'essayais de rattraper le temps perdu, mais ça n'a pas toujours été facile, puisque les perms n'étaient pas très longue au près de lui, surtout pour un enfant, voir son père une semaine sur trois mois, parfois même sur neuf mois, ce n'est pas facile et je le comprend très bien, mais depuis mon retour, tout semblait plus calme, plus parfait. Il s'était fait à ma présence et nous passion des temps mémorable à deux. Je me souviens, ce jour là, tout me semblait calme, parfait. Nous avions quitté la maison après, quoi, dix heures. Ma femme avait besoin de repos, besoin de rester seule, qu'elle disait. Ouais, ouais c'est ça. Disons que je la croyais. Elle me préparait quelque chose et Elias faisait partit du plan. C'était lui qui m’entraînait loin de la maison et je dois avoué que je me suis laissé prendre. Nous avons passé la journée ensemble. Militaire que je suis, je traînais toujours une arme sur moi. J'ai été entraîné pour toute sorte de situation, je connaissais la médecine, sans avoir aucun diplôme, c'est ça avoir une mémoire tampon et un toubib super. Je voyais Elias sur sa planche rouler devant moi, je riais, je ne m'étais jamais sentis aussi bien. Il s'arrête se retourne vers moi.  « Papa! Je veux une glace. » Je m'avance vers lui, sort mon porte-feuille et lui tend un billet le voyant traverser la rue au pas de course. Je lui hurle dessus.  « ELIAS PAUL BORDEL ! NE FAIT PAS ÇA! » Il me fixe de l'autre côté de la rue la moue en demi lune pointé au sol. Je pousse un soupire et glisse ma main sur ma nuque avant d'aller le rejoindre regardant de gauche à droite. Je lui ébouriffe les cheveux et il se prend une grand crème glacé molle. Je roule les yeux. Quand c'est papa qui paye, on ne se gêne pas. On s'éloigne pour s'installer sur un banc et puis au loin les cris d'une femme m'alerte. Je me redresse d'un bon, une main en direction de mon enfant. Je vois une femme sortir d'une rue étroite, puis un homme passant devant se met à courir à son tour et un coup de feu retentit. J'attrape aussitôt mon arme.  « Elias, reste-là. » Je m'avance au pas de course et entre dans la rue voyant l'homme énervé la main tremblante tenant une arme. Je garde mon canon braqué sur lui et tente de le calmé à distance en faisant quelques pas. Sûrement que mes mots l'ont ramené à la surface, puisqu'il a regagné un calme. Je réussis à m'approcher encore un peu plus.  « Papa? » Je n'eus pas le temps de me retourner qu'un coup de feu retentit. Ma voix brise le ciel et prit d'adrénaline, je tire à deux reprise sur l'homme qui tombe à la renverse. Je me retourne d'un bon, il est la debout. Un instant, je me sentais mieux, mais son regard me disait autre chose. À peine un pas fait vers lui que je le vois s'effondrer le sang sortant de sa bouche. Je me mets à courir. Il est là, gisant sur le sol. Mon coeur s'arrête. Un seul coup de feu et il a été atteint en plein poumon. Ce jour-là, je suis rentré couvert de sang, notre fils dans un cercueil et une surprise raté pour le jour de mon anniversaire. À peine quatre jours plus tard, je me réveille seul dans le lit et personne dans la maison. Elle avait disparut, elle m'avait quitté sans dire un mot. Je comprends sa douleur et c'était peut-être mieux ainsi.

SEPTEMBRE 2010, IRAK, 35 ANS / LIKE FATHER LIKE SON
Je suis face à eux et je ne dis rien, j'ai une cigarette entre les deux. Après mon départ, l'unité suicide avait été déconstruite, mais après la mort de mon fils, je n'ai pas résisté longtemps à l'appel de la mort. De l'armée. J'ai repris du service et j'ai remonté l'unité avec les plus téméraire. Je parlais à peine, je ne leur portais aucune attention. J'étais différent qu'à l'époque. Dans cette nouvelle versionne, il y en avait deux avec qui je travaillais à l'époque, trois qui me connaissait de nom, de surnom et le reste était des petits nouveaux. « Bane, sérieux pourquoi t'es revenu. C'est quoi cette gueule de glace. » Je lève les yeux vers lui, la tête semi baissé et allume une allumette pour m'intoxiquer les poumons. L'autre s'y met et les trois reculèrent d'un pas où deux. « Écoutez, j'en ai rien à ciré de vous, ou de ce que vous pensez de moi. L'Gen nous donne des missions on les fait, on revient. Pas besoin de s'adresser la parole. C'est le boulot. » Les nouveaux me regardèrent un peu plus perplexe, il ne voyait pas ce genre de comportement chez un chef. Ceux me connaissant de nom ont eut les yeux ronds. Ils connaissaient ma réputation et que je prenais toujours la défense de mon unité. L'année qui a suivit fut tout de même assez dure pour eux. Je n'étais pas doux, j'étais même vil par moment. À y repenser aujourd'hui, j'étais comme mon père à ce moment là.

OCTOBRE 2011, IRAK, 36 ANS / NEAR DEATH
Un automatisme. Je ne sais pas comment, mais c'est arrivé comme ça. Un homme à découvert, un petit nouveau. Un instinct c'est réveillé. J'ai couru vers lui, je l'ai attrappé par le collet, l'ai tiré vers l'arrière, je me suis retrouvé seul à découvert. Mon unité entière dissimulé derrière un mur. Aucun d'eux ne s'était rendu compte que je n'était plus là et le nouveau était toujours ébranlé. Un pas vers l'avant pour me stabilisé et une grenade explose derrière moi me propulsant vers l'avant. J'ai perdu connaissance, je n'ai aucune idée de ce qui c'est passé entre la grenade et les hurlements à distance. « BANE! » Sa voix résonne dans ma tête. « Capitaine! » Puis d'autre on suivit, mais mon attention n'était plus sur eux. À leur timbre de voix, il me cherchait. Je ne savais pas où je me trouvais, mais le canon plaqué contre ma nuque n'annonçait rien de bon. Les mains attachées dans le dos, ce l'était encore moins. Je prend une grande respiration et ferme les yeux. Un coup de feu retentit, puis un autre à un millième de seconde de différence et puis plus rien. C'était le noir total.

On m'a dit trois jours et toujours en vie. J'ai ouvert les yeux et un vieil ami se trouve à mon chevet.  « VanCamp, vieux frère tu te réveilles enfin! » Je me redresse d'un bon, je n'avais plus entendu ce nom depuis des années, il n'y en avait qu'un qui pouvait me nommer comme ça. Mais je retombe aussi tôt sur le lit, la vue brouillé, des nausées, des étourdissements. Sa voix résonne dans ma tête, encore. « Wooh, respire VanCamp, tu t'es pris une balle en pleine tête! Je savais que t'avais la tête dure, mais à ce point là! Ha! » Je tourne la tête et croise son regard.  « M'appelle plus comme ça. » Il me dévisage. Il me connaissait seulement depuis ce nom là et je n'avais pas envie de lui raconter toute ma vie. Il écarte mon attitude et pousse un soupire.  « Je suis venu te chercher, tu rentres au pays avec moi. T'es un vétéran, t'en as assez fait pour eux. Ça faut presque vingt ans. Rentre. » Je crois bien qu'il avait raison. Je me suis reposé quelques jours de plus et je suis rentré au pays, j'ai récupéré mon bureau de détective privé, j'ai pris une vie, plus... Normal.

JANVIER 2014, SEATTLE, 38 ANS
J'ai ma main dans ma nuque, je fixe ma soupe et mon interlocuteur en face de moi ne s'arrête pas. Il parle, il parle, il parle, il parle trop. Je pousse un rire sarcastique. Il s'arrête et porte son attention sur moi. Je le vois du coin de l'oeil, croiser les bras. Oh, monsieur est offusqué. Je me redresse en me cale dans la banquette. Je le fixe avec ce faux sourire habituel. « efface ce sourire. t'es vraiment lourd là. J'essaie de changer les idées et toi tout ce que tu arrives à faire c'est rire de moi. » Je dois avoué qu'il avait raison. Il m'avait traîné dans son voyage à Seattle pour m'éloigner de ma maison et tous ces souvenirs. Je regarde par la fenêtre et repose mes yeux sur ma soupe avant d'en prendre une boucher. Je n'avais pas prononcer un mot depuis que nous avions posé un sol à terre. Il soupire et s'attaque à son hamberger. Je lève les yeux un instant vers lui sans bouger. Il est vraiment vexé. Je suis vraiment pourri comme ami. Il est venu me chercher en Irak pour me ramener à la maison, il fait tout pour me changer les idées. Je regarde à nouveau par la fenêtre et ma cuillère tombe dans mon bol et éclabousse sur la table. Je fixe ce visage. Je l'ai déjà vu quelque part. Ouais, je pourrais mettre ma main au feu que c'est lui. Je me lève d'un bon et le suis du regard jusqu'à ce qu'il passe devant la porte.  « Van-... » Il n'a pas eut le temps de terminer que j'étais déjà à l'extérieur. Je le vois tourner le coin de la rue et de loin, je le suis. Je dois être sûr que c'est lui. Je prend une cigarette dans ma poche et me la fou entre les dents, un plan b. Main dans les poches, la tête assez entre les épaules, je le suis. Après de longues minutes, il rejoint un groupe.  « Elliot! T'en as mit du temps, on t'attendait. » À ce moment même, il regarde derrière lui et j'agite mes mains dans mes poches. Plan B. Je cherche mon briquet, mais je n'en ai pas. Je n'en ai jamais eut. Je m'écarte du chemin faisant mine de chercher encore et passe aux poches de ma chemise et je trouve mes allumettes. J'allume ma cigarette et reprend mon chemin passant près de lui sans trop attirer l'attention. C'était bien lui Elliot VanCamp. Je crois que mon vieil ami rentrera seul à Los Angeles. J'ai une raison de rester.

MARS 2016, SEATTLE, 40 ANS / STARTING TO LIVE AGAIN
Deux ans, toujours dans cette foutu chambre d'hôtel, je crois que je ne m'y ferai jamais de m'établir ailleurs, surtout dans la ville d'où je viens. Pourtant, je vis très bien cette vie d'hôtel. Faut dire qu'ils m'aiment bien, je paye bien. C'est sur qu'avec la pension de vétéran et l'argent de détective, tout va bien. Los Angeles ne me manque pas, je crois que je suis bien à Seattle. J'ai en quelque sorte une nouvelle attache, une raison de me battre contre tout ce qui m'arrive. La mort de mon fils a détruit ma vie, sa mort m'a arracher ma femme, ma stabilité. J'ai frôlé la mort, et je ne vis plus comme avant. Je tente de me refaire une vie, mais ce n'est pas si facile que ça quand tu n'as personne sur qui compter. Ma mère ne m'adresse plus la parole depuis que j'ai envoyé ce coup en pleine gueule de mon paternel et lui, on n'abordera pas le sujet. Malgré tout il y a deux ans, j'ai trouvé mes frères et une soeur. Trois frères pour être plus honnête et je dois avoué que je me suis rapprocher d'eux, chacun d'une façon différente. Ils sont loin d'être comme William, contrairement à moi, je lui ressemble un peu trop. La marque de ma mère disparaît un trop plus les jours avance. Ça ne dépend que de moi pour que ça change.
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